Je n’ai plus peur de danser. C’est avec ces quelques mots que ça a commencé.
Ça peut paraître anodin, mais ne plus avoir peur de danser, c’est accepter d’être regardé, de lâcher prise et faire fi du regard des autres. C’est accepter sa gestuelle et se sentir libre, se montrer sans artifice pour crier son bonheur d’être là. C’est accepter de dire « Je ».
C’est ce « Je » qui nourrit depuis quelques mois chez Pierre Guénard, ce besoin de chanter sous son propre nom et donc de s’aventurer seul après deux albums de Radio Elvis.
Et puisqu’il se lance sur la piste, il dit tout. Sans filtre, comme autant de confidences à un ami. Au fil des chansons, Pierre se livre simplement, tel qu’il est, dans une écriture proche du journal de bord qui ne cherche que l’essentiel. C’est cru, presque impudique, mais toujours sincère.
C’est ce « Je » qui nourrit depuis quelques mois chez Pierre Guénard, ce besoin de chanter sous son propre nom et donc de s’aventurer seul après deux albums de Radio Elvis.
Et puisqu’il se lance sur la piste, il dit tout. Sans filtre, comme autant de confidences à un ami. Au fil des chansons, Pierre se livre simplement, tel qu’il est, dans une écriture proche du journal de bord qui ne cherche que l’essentiel. C’est cru, presque impudique, mais toujours sincère.