Carte sonore
Henri Lamy de la Taverne Gutenberg

Un vivier artistique blotti entre la rue Gutenberg et la rue de l’Épée ? N’y allons pas par quatre chemins, le sujet, c’est une inattendue galerie d’art lancée l’année dernière par le peintre Henri Lamy et sa femme Maia D’Aboville. Dès l’ouverture, le concept alternatif s’est fait remarquer avec des fréquentations qui ont dépassé les espérances. Ce bâtiment de trois étages – initialement voué à la destruction – jouit d’une seconde vie, chouchouté par les artistes et bénévoles qui occupent quotidiennement les lieux. La fusion entre artistes et public fonctionne plutôt bien, à chaque visite on prend un plaisir insatiable à voguer de haut en bas, entre traits, collages ou coups de pinceaux. C’est pourquoi Paperboys a voulu rencontrer Henri, le fondateur de la Taverne Gutenberg, jeune rêveur et ambitieux de 31 ans. Il revient sur ses débuts, quand il toquait encore aux portes des galeries, sur une rencontre  » henrichissante  » et sur un festival d’art et musique qui se déroule à trois heures de Manille aux Philippines – le Malasimbo –  dans lequel il aimerait s’investir davantage.

Henri a choisi sa musique, celle qu’il kiffe en ce moment : June Marieezy – Fly

 


 

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